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    Voici deux  documents concernant les compétences du métier

     compétences du métier

     référentiel de 2010


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  • Je suis admissible et je n'en reviens pas. Je suis contente d'avoir réussi à passer cette première étape. J'ai hâte d'avoir mes notes pour savoir ce qu'il en est.

     


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  • Voici un document sur l'enseignement de la grammaire:

    enseigner la grammaire


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  • N'hésitez pas à aller voir sur le site de l'éducation national les modalités d'inscriptions pour le nouveau concours. Dès septembre 2013, il faut s'inscrire pour les épreuves du printemps 2014. Meme si on est admissible pour les oraux de 2014, il faut préparer les nouveaux écrits car l'oral ne sera qu'après. Donc pas de temps à perdre si on veut réussir car cela peut faire trois épreuves différentes à préparer du coup.

    Pour les nouvelles épreuves d'admissibilité du printemps prochain, il faut travailler les maths et le français seulement. Donc j'ai choisi de continuer à travailler ces deux matières pour ne pas oublier ce que j'ai acquis pour les épreuves que je viens de passer.

    Allez courage on va y arriver.

     


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  • Voilà le concours est passé. Je passais les épreuves du groupement un pour l'académie de Versailles. les épreuves de français et d'histoire-géographie se sont bien déroulés avec le sujet que j'avais prévu en histoire sur le thème de l'école et les lois de Jules de Ferry au XIXe siècle. Les sciences portaient sur le cycle de développement du moustique et cela me convenait tout à fait. Par contre les maths n'étaient pas forcément très simples alors je crois cela ne va pas passer encore cette année.

    Les sujets sont déjà en ligne sur le site de l'éducation nationale.

    Et vous, vos impressions sur les sujets?

     


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  • Aujourd'hui lundi 20 mai

    Corrections sujets d'hier

    En quoi le  néolithique est-il une période cruciale dans l'histoire humaine?

    Plan en deux points: 

    Intro:

    expliquer ce qu'est le néolithique et sa datation; révolution néolithique nuancée par les chercheurs qui nuancent le thèse de Childe : passage d'une économie de prédation à une économie de production.

    I-)caractéristiques du néolithique: sédentarisation, agriculture, travail de la pierre polie et des métaux, céramique.

    II-)Le néolithique une période cruciale car nouvelle organisation social avec sédentarisation et culturelle, religieuse avec les mégalithes et dolmens.

    Conclusion

    ouverture sur l'importance de la période

    La romanisation des gaules

    Au tournant des années 50 avant notre ère, le monde des Gaulois d’au-delà des Alpes tombe dans sa totalité sous l’emprise de Rome ; les opérations militaires conduites par César et ses principaux lieutenants font passer sous l’autorité de Rome, et à partir d’Auguste (27 avant notre ère-14 de notre ère), de ses empereurs, un ensemble de territoires s’étendant de la Méditerranée, des Pyrénées et de l’Atlantique jusqu’au Rhin. La conquête militaire crée donc les conditions favorables à l’unification administrative et politique des cités gauloises dans le cadre de provinces et assure à cet espace, en l’insérant dans le vaste empire romain, la paix et la prospérité jusque dans le courant du IIIe siècle. Plus largement et sur le long terme, ce sont les cadres de la romanisation des populations gauloises, donc de leur intégration et de leur acculturation, qui semblent posées.  
    Dès la fin du IIe siècle, Rome qui domine le bassin occidental de la Méditerranée intervient en Gaule transalpine. En effet, les commerçants s’y adonnent à des échanges en s’y approvisionnant en produits locaux (jambons) et en y trouvant des débouchés pour leurs produits (vin). Certaines cités gauloises en retirent d’importants avantages et nouent des relations d’intérêt avec la puissance romaine : il en va ainsi, par exemple, des Eduens. La soumission en est amorcée dans le courant des années 125-120 et une première province est alors fondée : la Gaule Transalpine (future Narbonnaise sous Auguste) dont la métropole administrative est située à Narbo Martius (Narbonne), fondée en 118. Rome entre donc plus étroitement en relation avec le monde des cités gauloises et mesure plus nettement sa richesse et ses potentialités. C’est cette province qui servit de point de départ aux opérations militaires conduites à partir de 58. En effet, César et ses adjoints mènent en Gaule entre 58 et 51 une succession d’opérations militaires qui les conduisent au-delà du Rhin et au-delà de la Manche. Entre 54 et 51, les armées romaines doivent faire face à une réaction conduite par  Vercingétorix. Malgré de rudes échecs, les légions romaines triomphent du soulèvement mené par lui en 52, à Alésia.  
    Outre les ravages et les morts, et l’élimination controversée des druides, la conquête s’accompagne de profondes transformations de l’espace et des genres de vie. Pour leurs besoins, les légions construisent, équipent et entretiennent un important réseau de voies qui facilitent leurs déplacements et participent à une unification du territoire : le réseau développé essentiellement sous Auguste prend l’aspect d’une étoile dont Lyon (Lugdunum) est le centre. Des campements permanents sont installés sur les confins externes des territoires soumis et à proximité d’oppidae gaulois : ils sont les uns et les autres à l’origine de villes (Argentorate - Strasbourg). D’autre part, sur des territoires confisqués, des vétérans des légionnaires sont installés dans des colonies (à Arles, à Nîmes (Nemausus)) relevant du droit romain. À l’image des territoires antérieurement conquis, le territoire gaulois est organisé, pour l’essentiel et jusqu’au IIIe siècle, en trois provinces (en plus de la Narbonnaise) : celles de Belgique, d’Aquitaine et de Lyonnaise. Chaque province dispose d’une capitale et est divisée en cités qui, dans leur territoire, respectent le découpage gaulois antérieur et à l’intérieur desquelles une ville exerce les fonctions de commandement et d’administration. La soumission passe aussi par la mise en place d’une fiscalité, essentiellement foncière. Les rythmes de l’assimilation politique et juridique sont divers. Elle concerne d’abord l’aristocratie gauloise (les élites) qui obtient la pleine citoyenneté romaine (47-48) et peut ainsi intégrer progressivement les carrières de la haute administration romaine tout en exerçant les magistratures municipales ; progressivement, les membres de cette élite prennent l’habitude de porter des noms romains. Pour les humbles, libres, les carrières militaires peuvent offrir, au terme d’un long engagement, la possibilité d’accéder à la pleine citoyenneté romaine et de disposer d’un lot de terre. Enfin, à partir de 212, par l’édit de Caracalla, tous les hommes libres de l’empire deviennent citoyens. La conception religieuse tolérante mais aussi la promotion d’un culte nouveau pour l’ensemble des populations, celui rendu à l’empereur divinisé, symbole de l’attachement à Rome, facilitent l’imbrication des cultes dans un contexte religieux gallo-romain.  Sur un plan social, l’intégration concerne de larges strates de la société. En effet, aux militaires qui s’installent s’ajoutent quantité de Romains exerçant des professions diverses, en particulier les commerçants qui s’implantent dans les villes offrant de bonnes étapes commerciales (Burdigala, Lutetia). Il en résulte une acculturation partielle par l’imitation et le brassage social, comme en témoignent la diffusion du latin, la modification des toponymes et patronymes. Quant à l’ouverture commerciale des provinces gauloises sur l’économie-monde romaine, elle assure d’importants débouchés aux productions gauloises (produits agricoles et productions artisanales comme la poterie) et plus généralement une incontestable prospérité ainsi que la promotion de groupes sociaux.  Cette acculturation est d’autant plus réelle qu’elle s’effectue sur une longue durée, celle de la Pax Romana. De nouveaux comportements alimentaires et vestimentaires, de nouveaux divertissements, plus généralement de nouvelles formes de sociabilité, sont d’autres composantes de ce processus qui n’affecte finalement pas les hiérarchies sociales et se diffuse aussi bien dans les campagnes que dans les villes.     

    Assez rapidement, les conquérants créent des villes appelées à jouer un rôle dans l’encadrement et la direction des territoires nouvellement soumis. Ces créations se  firent le plus souvent à proximité des oppidae gauloises. Ces villes, dans leur physionomie partiellement établie par l’archéologie, témoignent de la diffusion d’un modèle urbain et architectural : modèle urbain qu’exprime un plan souvent quadrillé élaboré sur le modèle efficace du camp romain, modèle architectural qui prend appui sur la monumentalité des édifices publics (amphithéâtres, théâtres, cirques, thermes, arcs de triomphe, temples, portiques, aqueducs). Ces monuments constituent les éléments les plus forts du tissu urbain à l’intérieur duquel ils se conjuguent avec les habitations individuelles (domus) et collectives (insulae), les demeures des détenteurs des pouvoirs publiques et militaires. En cela, chaque ville de la Gaule romaine est une « petite Rome », et son programme architectural soutenu par le mécénat (évergétisme) des élites locales, le signe de l’attachement à la capitale de l’empire. Les villes s’inscrivent dans un tissu rural dynamique et prospère. Les terres agricoles sont fréquemment possédées par de grands propriétaires latifundiaires et constituent des villae où s’associent la résidence du maître du domaine et le domaine d’exploitation où travaille et loge le personnel servile d’exploitation. Pour les campagnes, le contexte de la romanisation est donc une période d’ouverture, d’expansion, de transformations avec, par exemple, la diffusion dans le Midi de l’olivier et de la vigne.  
    L’ensemble de ces données semblent attester d’une romanisation en profondeur des Gaules, d’autant que le processus joue sur une longue durée (IIe-Ve siècle). Toutefois, il ne s’agirait pas de se méprendre et, sans parler d’une résistance à la romanisation, il s’agit de reconnaître la permanence du substrat antérieur et sa capacité à imprégner l’apport romain, en ce sens et dans le sens que semble actuellement retenir l’historiographie. Ainsi, plutôt que de « romanisation », il convient de parler de « gallo-romanisation ». Autrement dit d’un processus qui organise durablement sur un plan culturel et spatial l’ensemble territorial qui coïncide aujourd’hui avec le territoire français.

     


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  • aujourd'hui dimanche 19 mai

    sujets allant de la préhistoire au Moyen Age:

    En quoi le néolithique est-il une période cruciale dans l'histoire humaine?

    La romanisation des Gaules

    correction demain


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  • Aujourd'hui samedi 18 mai

    Annales de Français avec des exercices de grammaire, orthographe, lexique


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  • aujourd'hui 17 mai

    révisions de Français la grammaire et la conjugaison.


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  • Corrigés des sujets de sciences nat et sciences physique

    Question n°1 : (1,5 point)
     
    Après avoir défini la digestion, expliquez le rôle de l’estomac dans cette fonction.
     
    Corrigé
     
     
    La digestion est le processus par lequel les aliments sont transformés en molécules assimilables par
    l'organisme, c'est-à-dire utilisables par les cellules.
    Chez l’homme la digestion comprend deux phases
    -un broyage ou mastication
    -une simplification moléculaire réalisée par les enzymes digestives.
     
    La digestion se termine par une phase d’absorption intestinale : passage dans le sang des nutriments.
    Les aliments non digérés sont rejetéspar l’anus via le gros intestin.
    L’estomac joue plusieurs rôles dans la digestion :
    -par des contractions musculaires puissantes il malaxe et fragmente les matières solides, ce qui
    favorise leur dissolution dans l’eau ;
    -il commande le déroulement de la digestionen contrôlant la vitesse de passage du bol
    alimentaire (chyme) dans l’intestin à travers le pylore qui se ferme ou se relâche. La durée de la vidange gastrique va de 3 h à 6 heures selon l’importance du repas ;
    -il assure la digestion acide des protéines (transformées en polypeptides). La pepsine est l’enzyme responsable de cette fragmentation. L’acide chlorhydrique fabriqué par certaines cellules de l’estomac permet l’action de la pepsine.
     
    Question n°2 : (1 point)
     
    Qu’est-ce que la photosynthèse ? Explicitez l’importance biologique et écologique de ce
    phénomène.
     
    Corrigé
     
     
    La photosynthèse correspond à une synthèse de substances organiques réalisée grâce à l'énergie
    lumineuse. Celle-ci est captée par les chloroplastes qui contiennent des pigments photorécepteurs dont
    le principal est la chlorophylle. Grâce à cette énergie, l’élément carbone des molécules minérales (dioxyde de carbone) est réduit et transformé en élément carbone des molécules organiques. L’eau est
    le donneur d’hydrogène. Des glucides sont fabriqués.
    Du dioxygène est rejeté. La matière organique produite permet le développement du végétal.
    Par la photosynthèse, les végétaux sont des producteurs primaires : ils fabriquent de la matière
    organique en partie consommée et utilisée par de nombreux êtres vivants, qui seront à leur tour
    producteurs secondaires. Ils sont ainsi à l’origine de la plupart des chaînes et réseaux alimentaires.
    La matière organique produite par les végétaux représente une source d’énergie considérable. Le
    charbon et le pétrole sont d’origine végétale.
    Les végétaux actuels sont une source possible de biocarburants.
    Les quantités de dioxyde de carbone fixées lors de cette synthèse sont très importantes. Les végétaux
    ont donc un rôle clé dans la régulation de l’effet de serre.
    L’utilisation du dioxyde de carbone et la production de dioxygène, conséquence de l’activité photosynthétique, ont conduit à une évolution de la composition de l’air. Le dioxygène est aujourd’hui
    indispensable à la plupart des formes de vie pour leur respiration (êtres vivants aérobies). Même si le
    dioxygène produit est utilisé par ces mêmes végétaux pour leur respiration, le bilan de production est
    positif. Ils continuent à assurer le renouvellement de l’air.
     
     
    Question n°3 : (1 point)
     
    3.1.
     
    Proposez deux exemples d’objets techniques pris dans la vie courante utilisant des
    systèmes techniques différents pour transformer, dans le même plan, un mouvement de rotation en un autre mouvement de rotation, de même sens mais plus rapide.
    3.2.
     
    Décrivez le mécanisme de chacun des deux systèmes techniques en justifiant en quoi ils répondent aux exigences de la question 3.1.
     
    Corrigé
     
     
    Les réponses peuvent être effectuées à l’aide de schémas, conventionnels ou non, ou par des
    explications sous forme de phrases rédigées.
     
    3.1 : la question impose de donner deux objets fondés sur deux systèmes techniques différents.
    -engrenages : essoreuse à salade, boîte de vitesses d’un véhicule, etc. ;
    -courroie-poulie : appareils audiovisuels, ventilateur de refroidissement du moteur ou
    distribution dans un moteur de voiture, etc. ;
    -roues entraînées par friction : galet et roue de certains vélomoteurs, etc.
    Deux exemples sont demandés. Les exemples présentés doivent conserver le sens de rotation.
     
    3.2 : dans les systèmes présentés une roue dentée ou une poulie solidaire d’un axe en rotation entraîne,
    par l’intermédiaire d’une liaison mécanique, une poulie ou une roue dentée de diamètre inférieur, solidaire d’un autre axe parallèle au précédent. La liaison mécanique est soit locale, par contact direct
    (engrenages, roues de friction), soit déportée par friction courroie-poulie, soit par combinaison des
    deux comme dans la chaîne de bicyclette par exemple.
    Le rapport des vitesses de rotation est égal à l’inverse du rapport des diamètres des roues dentées ou
    des poulies.
    Pour garder le même sens de rotation, diverses solutions techniques sont possibles :
    -entraînement par engrenages (roues dentées) :
    -la roue menée engrène à l’intérieur de la roue menante ;
    -train d’engrenages à un nombre impair de r
    oues dentées, le diamètre de la première
    roue étant plus grand que celui de la dernière.
    -entraînement par pignon et chaîne ;
    -entraînement par friction : roues et courroie.
     
     
    Question n° 4 : (1 point)
     
    On parle couramment d’une « face cachée de la Lune ». Est-ce fondé ? Justifiez votre réponse à
    partir de vos connaissances.
     
    Corrigé
    :
    L’observation de la Lune depuis un point de la Terre montre que ce satellite présente toujours la même face d’où l’expression « face cachée de la Lune » ; ceci serait faux vu d’un autre point
    d’observation situé ailleurs que sur Terre. La Lune tourne autour de la Terre en 28 jours environ, et
    pendant ce temps elle effectue un tour sur elle-même. Depuis la Terre on verra donc toujours la même
    face.
    La période de rotation de la Lune sur elle-même est égale à sa période de révolution autour de la Terre.
    L’observation de ce phénomène pose le problème du référentiel d’observation nécessaire à la
    description d’un mouvement.
     
     
    Question n°5 : (1,5 point)
     
    Quand il gèle ou quand il neige, on répand souvent du sel sur les routes. Quel(s) phénomène(s)
    cet apport de sel provoque-t-il ? Donnez, en quelques lignes, une explication scientifique.
     
    Corrigé
    :
     
    L’eau pure gèle à 0°C. Le mélange sel-eau (qui n’est pas un corps pur) gèle à une température
    inférieure à 0°C. La température de congélation de ce mélange dépend de la concentration de sel ;
    elle est, pour certaines concentrations, nettement inférieure à –10°C.
    Dans l’état initial, la glace ou la neige qui sont sur la route sont à l’état solide, à la température
    ambiante, inférieure à 0°C.
    Lorsqu’on projette le sel sur la route la température de fusion de l’ensemble neige-sel est portée
    (s’il ne fait pas trop froid) à une température inférieure à la température ambiante. L’ensemble ne
    peut donc pas rester solide, la neige ou la glace fondent. A la fin du processus reste à la surface de
    la route une eau salée (sel dissous dans l’eau) à la température ambiante, inférieure à 0°C.
     
    La fusion de la glace ou de la neige nécessite un apport de chaleur. Cette chaleur est apportée par
    l’air ambiant.

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