• En quoi la date de 52 avant J.-C. est-elle une date importante dans l’Histoire de France ?

    Q uelques conseils :

    analyse du sujet : 
    l’intitulé invite à mettre en relation une date et une histoire, un événement précis et la longue durée. Il s’agit de montrer en quoi la victoire des Romains sur les Gaulois en 52 avant J-C entraîne une intégration des territoires jusqu’alors gaulois dans l’empire romain et donc leur romanisation, romanisation dont les effets ont été durables et qui a considérablement marqué la France de son empreinte.
     

    - La forme interrogative invite aussi à envisager la portée de l’événement avec une distance critique : on  n’oubliera  pas  les  arguments  qui  pourraient  relativiser la thèse sous-tendue par l’intitulé (52 avant J-C comme point de départ d’une romanisation complète de la Gaule), ni même a évoquer la remise en cause par certains historiens du concept de romanisation. Le sujet doit par conséquent être discuté et la réponse nuancée.
    - le sujet ne consiste pas à raconter la guerre des Gaules, ni les étapes de l’intégration de la Gaule à l’empire romain.
    - il est nécessaire de citer quelques domaines dans lesquels la romanisation a été particulièrement visible, ainsi que de faire allusion à l’héritage gallo-romain qui nous est resté.
     

    rédaction : 
    - la réponse doit être synthétique, c’est-à-dire dégager l’essentiel (la question de la romanisation de la Gaule) et couvrir rapidement l’ensemble du sujet ;
    - la réponse doit être structurée, par exemple en distinguant la portée de l’événement et ses limites sous forme de deux paragraphes ;
    - donner quelques exemples précis et utiliser le plus possible le vocabulaire spécifique à cette question : romanisation, acculturation, syncrétisme ;

     

    Proposition de réponse 

    La date de 52 avant J-C marque la victoire finale de César et des armées romaines sur les Gaulois unis derrière Vercingétorix (reddition à Alésia). Elle est à ce titre importante parce qu’elle intègre la Gaule à l’Empire romain et entraîne une rapide romanisation de ce territoire. Depuis le plan des villes (selon le modèle romain) jusqu’aux pratiques culinaires (adoption du vin et de l’huile d’olive) et aux modes vestimentaires et décoratives des maisons (mosaïques), en passant par la religion et la sociabilité (dans les établissement thermaux par exemple), les Gaulois devenus gallo-romains empruntent de nombreux aspects à la civilisation selon un processus d’acculturation. Ces emprunts sont parvenus jusqu’à nous aujourd’hui sous forme d’héritage (langue d’origine latine, réseau urbain, patrimoine architectural). 

    Il reste que les historiens insistent aujourd’hui sur le fait que la romanisation avait déjà commencé du fait d’échanges nombreux et qu’elle n’a pas fait disparaître complètement la civilisation gauloise, mais a plutôt fusionné avec elle pour faire naître une civilisation originale, la civilisation gallo-romaine. On peut citer l’exemple de la religion, dans laquelle il n’y a pas eu disparition des pratiques polythéistes gauloises, mais adoption, en sus, du panthéon romain et du culte impérial, ce qui permet d’utiliser la notion de syncrétisme religieux. Les résistances gauloises et les écarts de temporalités selon les régions et les populations (les campagnes étant restées à l’écart d’une romanisation rapide) amènent certains historiens à discuter le concept même de romanisation.

    Cette date a néanmoins été retenue comme une date fondamentale de l’histoire de France par l’historiographie traditionnelle pour qui elle marque le début du monde gallo-romain. Il et intéressant de noter que le concept est propre à la France (les Espagnols, par exemple, ne disent pas « ibéro-romain ») et répond donc à une spécificité française de la dualité. C’est ce qui a été enseigné depuis le XIX e siècle.


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  • Sujet sur l'antiquité aujourd'hui:

    En quoi la date de 52 avant J.-C. est-elle une date importante dans l’Histoire de France ?

    Corrigé posté  demain


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  • Introduction: 

    Présentation de de Gaulle et du fait que la Ve republique nait dans un contexte de crise politique et coloniale qui paralyse le fonctionnement de la IV republique. 

    Pb : quel est le rôle de De Gaulle dans la naissance de la Ve republique et dans l'organisation de ses institutions

    Plan: le contexte de naissance de la V republique, l'élaboration de la consitution et son contenu et son impact sur l'organisation des instiutions

    I-) la crise politique et coloniale entrainant le rappel de De gaulle au pouvoir: la naissance de la Ve république

    II-) la constiution de 1958 reflet de rôle que de gaulle assigne au pouvoir exécutif

    III-) les institutions de la V republique


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  • Voici une question sur la Ve république: De gaulle et les institutions. C'était un sujet tombé lors d'une session ancienne version du concours mais que l'on peut quand même résoudre avec les objectifs du nouveau concours depuis 2011.

    Je vous poste la correction demain 

    sujet sur De Gaulle


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  • De Gaulle et la France

    On évalue la pertinence de la réponse en fonction d’une double maîtrise :

    - la connaissance de base de la biographie et de l’action publique de De Gaulle ;

    - la prise en compte du libellé de la question, qui problématise l’approche biographique (quelles représentations et quelles analyses de Gaulle a-t-il de la France ? quel rôle veut-il jouer et a-t-il effectivement joué ? quels liens estime-t-il avoir tissé avec la France et les Français ? quels actes a-t-il accompli en cohérence avec sa lecture des faits ? quelles attitudes ont eu et ont les Français à son égard ?... sont quelques-unes des questions que le candidat aura à se poser)

    Pistes :

    - de Gaulle s’inscrit dans une culture et appartient à une génération qui assigne une place majeure à l’Etat-nation et singulièrement à la France. Dans la continuité de Michelet (et en adéquation avec les textes contemporains de Péguy), il voit son pays comme une personne, à laquelle le destin a assigné un rôle essentiel à l’échelle européenne et mondiale et dont le niveau d’ambition pour elle-même ne doit pas faiblir sauf à se nier. Cela se repère dans sa lecture de l’histoire nationale au sein de laquelle il refuse d’opérer des tris, dans son entrée dans l’armée, dans son rejet instinctif de la défaite en 1940 et dans  son intraitabilité vis-à-vis de ses alliés durant la Seconde Guerre mondiale, dans son refus d’un monde bipolaire durant les années 1960, dans sa vision de la Communauté européenne…

    - l’une de ses singularités est qu’il a pu tenter de mettre en œuvre cette vision, en dotant le pays d’instruments d’indépendance, de continuité et d’influence : exécutif fort, abandon des colonies, arme nucléaire, nouveau franc et ouverture douanière, etc. Cet homme, qui inscrit son action et sa personne dans l’histoire, est le même qui promeut la modernité et se montre d’une réelle dureté quand il s’agit d’adapter la France à son temps (attitude durant la guerre d’Algérie)

    - cette vision et ce parcours portent en eux-mêmes leurs limites : identification entre sa personne et le bien du pays (voir ses  Mémoires de guerre et ses  Mémoires d’espoir), tentation de dissocier la France de toujours et les Français contemporains quand ces derniers le déçoivent (élection présidentielle de la fin 1965 par exemple), instrumentation de la construction européenne, propension à dramatiser les enjeux (référendum d’avril 1969)

    - tout montre que ses contemporains ont pris tôt conscience de l’envergure du personnage : ainsi les référendums constitutionnels de septembre 1958 et d’octobre  1962 bousculent-ils les clivages partisans. La production historiographique, les sondages de popularité ou la récupération par des essayistes ou des hommes politiques de presque tous les camps montrent que cette prise de conscience est devenue particulièrement forte dans les années 1990 et 2000. Mais l’atmosphère consensuelle actuelle ne doit pas faire oublier que de Gaulle a suscité contestation, rejet, voire manifestations de haine : méfiance d’une partie des résistants durant la guerre, refus des institutions et de sa pratique du pouvoir en 1945-1946 et à partir de 1958 par une grande partie des élites politiques et une partie de l’électorat, rejet par une bonne partie de l’intelligentsia de ses choix diplomatiques, rupture durable avec une partie de l’armée et avec les Rapatriés du fait de sa politique algérienne, sentiment vécu par une partie de la classe ouvrière que la croissance s’opérait à son détriment, usure aux yeux d’une partie de la jeunesse du modèle hiérarchique et du projet modernisateur d’après-guerre qu’il incarnait (mai 1968).

    Au total,  les liens entre Charles de Gaulle et la France sont à la fois profonds, apparemment durables et plus complexes qu’il n’y paraît aujourd’hui. 


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  • J'ai commencé à réviser les notions sur la Ve république et voici un sujet d'annale: 

    De Gaulle et la France. 

    Je vous poste le corrigé demain.

     


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  • Voici une série de questions formulées sur le site du conseil constitutionnel sur la constitution de 1958 qui permet de bien synthétiser ce texte fondateur de la Ve république:

    La Constitution en 20 questions


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  • Pour compléter le dossier sur les gaulois et le notion de peuple barbare voici un extrait du blog de Gilles Sabatier qui donne encore des éléments pertinents pour être encore plus exhaustif sur cette notion. Merci encore pour votre travail, Mr Sabatier.

    "Les Gaulois : un peuple barbare ?


      « Les Gaulois : un peuple barbare ? »


    Remarques préliminaires : rappels avant le concours :
        -bien analyser le sujet pour éviter tout hors sujet
        -écrire lisiblement (même si le temps presse)
        -ne surtout pas faire de plan détaillé pour répondre mais des paragraphes rédigés et organisés.
        -faire attention à l’orthographe et à la rédaction (phrases parfois incorrectes)

    Remarques sur l’intitulé du sujet qui pose plusieurs questions :
        - le terme « Gaulois » est au pluriel alors que celui de peuple est au singulier. On pouvait en introduction indiquer que les Gaulois ne formaient pas un peuple uni et que cette division est d’ailleurs un facteur qui a contribué de donner d’eux, notamment aux yeux des auteurs antiques, l’image de « Barbares ». Malgré tout même s’ils sont divisés en de nombreuses petites nations ils partagent quand même une même langue et  des croyances identiques (même s’il existe des Dieux locaux).
       - l’absence de dates renforce le problème : à quel moment commencer l’étude  et où l’achever ?  Il était possible de borner le sujet, de l’installation de peuples celtes, à partir du Ve siècle avant J.C, sur un  territoire ensuite nommé par les Romains « Gaule », jusqu’à la romanisation de ce territoire (Ier siècle av J.C) où s’imposait une autre culture. Ce temps long (4 siècles) permettait d’ailleurs de nuancer la vision du Gaulois barbare car d’après les historiens, comme Ch. Goudineau,  les valeurs guerrières sont notamment de moins en moins prégnantes sur le long terme dans la société gauloise.
    Une représentation du Gaulois guerrier, ne craignant qu'une chose,....
    Une vision juste ou stéréotypée de l'époque celtique ?

    Eléments de réponse : le texte qui suit n’est pas celui que l’on peut attendre d’un candidat au CRPE disposant d’une vingtaine de minutes pour faire le tour de la question. Son contenu est aussi destiné à compléter votre information sur ce point du programme.

    Introduction :
    Les Gaulois forment une partie des peuples. Cette dénomination a été donnée à ceux qui se sont installés dans une partie de l’Europe allant des rives du Rhin à l’Atlantique, à partir du Ve siècle av J.C. Les Gaulois sont extrêmement divisés (sans doute une soixante de peuples) et sont très souvent rivaux. L’image qu’en donnent les sources littéraires antiques les assimilent généralement à des peuples violents, qui, pour reprendre une déclaration qu’aurait entendue Alexandre le Grand de la part des Gaulois (déclaration immortalisée ensuite par une bande dessinée célèbre), n’ont peur que d’une chose, c’est que le ciel leur tombe sur la tête. Mais cette représentation est-elle valide scientifiquement ? autrement dit : les Gaulois constituaient-ils vraiment un peuple barbare ?

    -    un premier paragraphe pouvait insister sur les caractéristiques d’une société guerrière, fondée sur des rapports sociaux très hiérarchisés, dominés par des aristocraties combattantes  s’efforçant de se constituer des clientèles. Les Gaulois ont longtemps été considérés comme de redoutables guerriers (notamment d’excellents cavaliers ; les seuls capables de menacer Rome après le sac de Rome en 387 avant Jésus Christ). Ils se font régulièrement la guerre entre tribus, pour contrôler des territoires, notamment les cours d’eau où ils taxent le commerce. Les Grecs les utilisaient d’ailleurs comme mercenaires pour leurs conquêtes. Des fouilles archéologiques ont permis de découvrir des nécropoles importantes où ces combattants étaient inhumés avec leur armement et où les corps d’enfants étaient aussi nombreux. C’est dire si l’art du combat faisait partie de la culture gauloise. Des sanctuaires gaulois, comme celui d’Entremont en Provence, exposent des crânes à leur entrée car il était de tradition qu’à la fin des combats, les guerriers rapportent les têtes des ennemis vaincus.

    -    un deuxième paragraphe pouvait nuancer cette vision en insistant sur le fait que la division « barbare/civilisé » était un leitmotiv de la pensée antique. Or, l’histoire a été écrite par les Grecs et les Romains qui se targuent de représenter la « civilisation », il était donc logique de voir les Gaulois présentés comme des êtres sanguinaires et barbares, ce que contredisent les recherches historiques actuelles en insistant sur la complexité et la richesse de la société celtique. De plus, sur la longue durée, les habitudes guerrières paraissent selon certains historiens s’estomper chez les Gaulois. Deux éléments, parmi d’autres, pouvaient notamment montrer  que les Gaulois connaissaient aussi la « civilisation » bien avant l’arrivée des Romains :
    o    Une organisation urbaine beaucoup plus poussée que l’on ne l’a longtemps cru. Or, dans l’Antiquité, l’organisation en «urbs » ou « polis », c'est-à-dire en cité, constitue une marque de civilisation. Les villes gauloises(oppida) sont autant de centres artisanaux et religieux, des carrefours commerciaux, où siège l'aristocratie. On pense même qu’elles pouvaient se spécialiser selon certaines fonctions. Elles se sont développées surtout à partir de 150 av J.C, sans doute de manière spontanée, ce qui les différencie toutefois des cités romaines ou grecques qui se développent progressivement.
    o    Un développement économique et « technologique » antérieur à la romanisation : le travail du fer, de la terre (la Gaule n’était pas entièrement couverte de sombres forêts, les Gaulois avaient inventé les premières moissonneuses), du bois (avec notamment l’invention du tonneau), et au niveau textile la mode des vêtements colorés reflète autant la qualité de leurs techniques que leurs goûts. Cette prospérité économique nourrissait des échanges importants, y compris à l’échelle du bassin méditerranéen, attestés par exemple par la diversité des monnaies retrouvées et l’ampleur des voies de communications (routes et fleuves navigables). Par ailleurs s’ils étaient plus indifférents que les Méditerranéens à la qualité de leur habitat (maisons simples au décor assez pauvre) leur sens artistique s’exprimait dans la parure ou le décor des armes qui atteste de leur talent dans le travail du fer  mais aussi dans certaines spécialisations comme l’émail et le placage or ou argent.
    Gaulois.jpg Une conclusion courte devait apporter une vision nuancée de la société gauloise en montrant qu’elle se fondait sur des valeurs guerrières et une grande part de violence mais aussi qu’elle détenait des traces civilisationnelles beaucoup plus profondes que ce qu’en retient généralement la mémoire collective nourrie par certains stéréotypes tenaces (la Gaule chevelue)."


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  • Introduction

    Phrase d'introduction permettant de définir qui sont les gaulois: ce sont des celtes et c'est le terme employé par les romains dès le IIIe siècle avant JC et ce terme désigne les celtes intallés sur le territoire qui recouvrirait la France actuelle donc à l'ouest des Alpes. 

    Depuis l'Antiquité, on considère les gaulois comme des barbares? Mais qu'en est-il vraiment? Pourquoi les qualifie-t-on de barbares? Que recouvre ce terme et qu'en est-il de leur barbarie? Est-elle vraiment véridique ou vue par le truchement des yeux des conquérants romains?

    Annonce du plan

    Corps du texte


    I-) Ce que les sources latines et grecques disent sur les gaulois:

    Des auteurs grecs et latins comme Poseïdonos d'Apamée, Strabon, Diodore de Sicile, Tite-Livre, César et Cicéron décrivent les gaulois et donnent des carctéristiques de ces peuples considérés comme barbares car ils ne parlent  pas latin ou grec mais aussi par qu'ils sont étrangers à la sphère culturelle gréco-romaine.L'image donnée des gaulois par leurs contemporains n'est guère flatteuse. En effet le gaulois aurait un aspect hirsute, les cheveux longs et blonds, la moustache pendante. Il ne saurait ni se tenir à table ni se vêtir. Son comportement serait violent et peu rationnel mais il serait courageux se battant nu, sans méthode et méprisant la mort. Ce serait un homme très religieux pratiquant des sacrifices humains et asservis par les druides et les guerriers.

    II-)De l'importance de relativiser la vision peu flatteuse émise sur le peuple gaulois

    Cette vision des gaulois est à relativiser et à mettre en perspective grâce aux recherches entreprises et aux connaissances que l'on a sur le peuple gaulois grâce à l'archéologie, la carpologie, la palynologie... . Comme les gaulois sont des ennemis valeureux, qui savent de se battre avec vaillance et à la civilisation complexe et développée, les auteurs romains les dévalorisent et les dénigrent afin de les rabaisser. Des sculptures permettent de mettre en évidence le fait que les gaulois prennent soin de leur apparence et s'habillent avec rafinnement. Ne sont-ils pas les inventeurs du tissu à quadrillage et ne créent-ils pas grâce à leur maitrise de l'art du métal des fibules ou autres petits bijoux? Ce sont des guerriers vaillants bien équipés avec des casques et des épées, des mercenaires parfois employés par Rome. Ils n'ont pas peur de la mort soutenus par une foi envers des croyances qui leur font croire au paradis.

    III-) Les gaulois sont-ils des barbares?

    Dès leur implantation en Gaule, les celtes contruisent une civilisation complexe qui n'est pas unie du point de vue des peuples, des régimes politiques, des langues ou de la religion mais qui est très évoluée. Les gaulois mettent en place un maillage du territoire grâce à des oppidums d'où partent des routes qui seront reprises par les romains. Ce sont des commerçants, des agriculteurs et des métallurgistes hors-pairs. Ce ne sont pas des barbares comme peuvent le développer les auteurs antiques ou du XIXè siècle.

    Conclusion

    On ne peut que critiquer les stéréotypes créées par l'historiographie et mettre en avant le fait que les gaulois ne sont pas des barbares et qu'ils se sont acculturés au contact de la civilisation gréco-romaine.

     

     

     

     

     

     


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  • Introduction

    phrase d'intro sur le début des recherches sur la période de la préhistoire au XIX et sur l'arbre évolutif du genre homo grâce aux différentes découvertes de traces d'humanoides.

    En quoi l'homme de Néandernal serait-il un primitif par rapport aux autres genres homo dans l'arbre évolutif du genre homo? Qu'est-ce qui le caractérise et le distingue des autres hommes qui le précèdent?

    annonce du plan

    Corps du texte

    I-) L'évolution du genre homo et la place de l'homme de Néantherdal dans l'arbre de l'évolution

    evolution du genre humain est plurielle et buissonnante et plus on s'éloigne dans le temps plus le nombre d'individus diminue.

    Avant Néanderthal

    Après Néanderthal

    II- Ce qui caractérise Néanderthal

    -outillage élaboré par rapport à homo habilis et homo ergaster

    -fabrication de vêtements

    -utilisation de colle végétale, d'herbes médicinales

    -prémice d'un art avec usage de couleurs, parures en os

    Conclusion

    Néandertal est-il un primitif? on répondera par la négative.

     

    -


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